Samedi Ciné
Convocation en huis clos au pays de Bergman
La ruine post-industrielle, la finesse du lévrier et la puissance de la création
« A Real Pain » mais un vrai rire aussi
Du parfait inconnu à la plus grande star du rock
« Fario », un premier film bien ficelé
« Miséricorde » là où poussent les morilles
« Dahomey », le retour de la statue n°26 chez elle, devenu le Bénin
« À son image », celle d’une photographe corse des années 80
« Crépuscule », un monument de cinéma hongrois
« La belle de Gaza », une madone étrange et dérangeante
« Le mal n’existe pas », une fable somptueuse sur la puissance de la nature
Yurt : un ado ballotté entre laïcité et islamisme
« Laissez-moi » : de belles images et des acteurs formidables pour un film mineur
« Chroniques de Téhéran », la dictature de l’absurde
« Bye Bye Tibériade » : Lina Soualem continue à raconter sa famille
« Sans jamais nous connaître » : un regard singulier plein de douceur
« La Bête » : Bonello dessine une fascinante fresque intérieure
Argentine, 1976 : ils ont tué le pianiste Francisco Tenório
La lutte pour la vie d’un adolescent d’Oulan-Bator
« L’innocence » : l’amour caché entre vérité et mensonge
« Past Lives, nos vies d’avant » : la puissance des amours enfantines
« Fremont », étrange film sur les étrangers
“Rien à perdre”, sauf sa famille
« Lost Country », la politique plus forte que l’oedipe