La première édition du festival « Premières fois ! » se propose sur une semaine et deux week-ends, du 1er au 11 février, de faire découvrir les réalisations d’artistes de toutes disciplines, émergents ou confirmés, professionnels ou amateurs, qui tentent des expériences de premiers gestes artistiques.
Programme complet
Billetterie (cliquez)
GLORIA, GLORIA, de Marcos Caramés-Blanco et Sarah Delaby-Rochette
Une performance artistique et scientifique hors du commun, un impromptu qui croise les regards d’une glaciologue et d’une marionnettiste sur leur pratique de la glace…
Jeudi 1er février à 20h30, au théâtre Nicolas Peskine
PORTRAIT DANSÉ, de Paul Molina et Mélodie Joinville
Paul Molina est un jeune sportif qui se rêvait artiste. Passionné par le football, le freestyle le fait vibrer parce qu’au croisement des disciplines artistique, sportive et acrobatique.
Vendredi 2 & 9 février à 20 h et samedi 10 février à 17h30, à la Halle aux Grains
P.M. ZIEGLER, PEINTRE, de Noëlle Renaude, Nicolas Maury
L’auteure de ce roman éponyme met en scène le comédien Nicolas Maury (acteur – Hervé dans la série Dix pour cent, chanteur et réalisateur) pour nous raconter une histoire d’amour à part, un hommage à ce peintre si singulier !
Vendredi 2 février à 20h30, à la Halle aux Grains
JUSTE LA FIN DU MONDE, de Jean-Luc Lagarce et la P.O.P compagnie
C’est l’histoire d’un écrivain de retour dans sa famille, après 12 ans d’absence, pour annoncer sa mort prochaine due à une maladie, le sida. Un projet original de théâtre en appartement qui se réinvente en fonction des espaces de jeu !
Dimanche 4 et 11 février à 11h et 16h, en appartement
AMOURS (2), de Joël Pommerat
Trois comédiennes et trois comédiens portent à fleur de peau la complexité des relations humaines, donnent corps à de courtes histoires d’amours, de tendresse et de liens filiaux en dehors des plateaux de théâtre mais au plus près du public.
Mardi 6 et mercredi 7 février à 19h30 et 21h, à la Fondation du Doute
À-MORT, de Manon Chircen et Charly Fournier
Sous-titre : conférence extraordinaire sur l’art de la réincarnation. Les deux comédiens-chercheurs célèbrent le jeu et le théâtre dans une comédie poétique et macabre, un méli-mélo de quiproquos, de mort et d’amour, de rires et de larmes.
Mercredi 7 février à 19 h 30 et jeudi 8 février à 20 h 30, au théâtre Nicolas Peskine
IL N’Y A PAS DE AJAR, de Delphine Horvilleur, Johanna Nizard et Arnaud Aldigé
Incarné par la comédienne Johanna Nizard capable de toutes les métamorphoses, ce monologue contre l’identité est un hymne à la gloire de nos facettes multiples, un cri à la liberté et à la fraternité, inspiré par l’écrivain Émile Ajar alias Romain Gary.
Vendredi 9 février à 20 h 30 et samedi 10 février à 18 heures, à la Halle aux Grains
Il n’y a pas de Ajar – Photo Pauline Legoff