Une session plénière, ouverte à la presse, s’est tenue le 24 octobre dernier à l’Hôtel du Département à Blois. Après les affaires, le calme semble revenu sur ces bancs. Au milieu de ce long fleuve chiffré où les mots, difficultés et finances, ont été moult fois répétés, un vœu du fait de l’opposition aura attiré l’attention, s’agissant d’un projet de green qui ne fait pas voir la vie en vert à l’ensemble des élus départementaux.
Les orientations budgétaires auront bien occupé l’assemblée d’élus départementaux fin octobre, dans une atmosphère nationale après-Covid qui appelle toujours à la prudence, plombée par l’inflation, des conflits, ainsi que des crises à la fois énergétiques et climatiques mais le Département de Loir-et-Cher a opté pour le maintien d’un budget, en l’augmentant (437 M€ contre 416 M€ en 2022). « C’est la volonté d’une politique dynamique. Nous devons poursuivre notre stratégie d’investissements malgré les incertitudes, notre gestion financière est saine, » a assuré le président de cette collectivité, Philippe Gouet (UDi). Ce choix politique s’est exercé dans un climat d’inquiétudes multiples, mais dans une ambiance de travail local, sereine pour une fois.[…]
Emilie Rencien