Contre vents et contrebasse !
Ça y est ! Ça y est ! C’est bon pour elle. La douce contrebasse, photographiée par Hélène Bensaad pour l’ouvrage “Orléans le concert silencieux” (Marivole Editions), va reprendre du poil de la fête. Aujourd’hui, cet instrument qui attendait, si seul et calé dans les fauteuils de velours rouge de la salle de l’Institut d’Orléans qu’un spectacle débute, peut enfin se réjouir. Dans peu de temps, déconfinement faisant, elle va même pouvoir se jeter dans les bras de son musicien ou de sa musicienne et se lancer dans une valse à mille cœurs avec le public retrouvé. Chic alors !
Jean-Dominique Burtin