[Rencontre] Pendant le confinement William Sheller a eu envie de se raconter. Une autobiographie “William” de plus de 400 pages sur sa vie, ses succès, ses belles rencontres et ses blessures. Un livre où il parle sans concession mais avec beaucoup de pudeur.
Celui qui ne voulait pas vraiment être une une star mais plutôt un musicien commence son histoire par son enfance marquée par un secret de famille : l’identité de son père.
Une vie bien remplie avec à ses cotés Barbara, Nicoletta ou Véronique Sanson. Une vie qui va vite entre concerts, nuits de folie, cocaïne et ambiguïté sexuelle. Aujourd’hui il ne veut plus entendre parler de scène.
Son petit coin de paradis, c’est la foret aux portes de la Sologne. Une vie presque retirée du monde avec ses vinyles, ses partitions et ses œuvres d’art.
Il n ‘a jamais voulu me jouer quelques notes. Dommage !
Bérénice du Fay