Orléans martyrisée, Orléans libérée : Les Orléanais et les pouvoirs à la Libération

Conférence

Après un rappel des terribles destructions de la ville en juin 1940, de son occupation et du rôle tenu par les autorités préfectorales et municipales nommées par le gouvernement de Vichy, la conférence évoquera les forces de la résistance dans l’Orléanais, le discrédit total de l’Etat milicien et l’enthousiasme des habitants lors de la Libération de la cité, du rétablissement des autorités de la République (municipalité élue et commissaire de la République) et de la visite du général de Gaulle. Toutefois, la cité de Jeanne d’Arc demeure marquée en 1945 par les deuils, les ruines et les souffrances du quotidien.

Orléans 1940 Cl Archives du Loiret


Par Pierre Allorant, professeur d’histoire du droit, doyen de la Faculté de droit et Gaël Rideau, professeur d’histoire moderne.

Mardi 17 septembre à 18h00 à l’Auditorium du musée des Beaux-Arts d’Orléans.

Commentaires

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  1. Ma déception fut grande car un quart de la conférence fut inopportunément consacré à des faits de la vie orléanaise post-Libération, sans lien avec le thème annoncé, tels que l’homicide de Pierre Chevallier en 1951 et les Floralies de 1967. Plus déroutant encore, des digressions sur la politique actuelle, tant française qu’internationale (Trump et Zemmour), se sont immiscées sans pertinence. Attendu que des éclaircissements sur l’État milicien de 1944 étaient espérés, l’allusion à une prétendue inclination de Pétain pour le cinéma pornographique, non avérée de surcroît, s’est révélée sans intérêt. La mention du réseau de résistance Vengeance et du maquis de Lorris fut superficielle. Aucune évocation ni image de Marc O’neill, chef des FFI et libérateur d’Orléans, ou de l’infortuné Claude Lerude, scout résistant du réseau Vengeance, torturé à la prison d’Orléans et déporté à Neuengamme où il périt lors de la libération du camp.

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