Au-delà des manifestations publiques, le Plessis, situé à La Riche, continue de se muer en un tiers-lieu vivant et multiple où la culture n’est finalement qu’un pan de la maison de vie rêvée par ses occupants.
En citant Gabriel Monnet qui évoquait la culture comme partie intégrante d’une maison de vie globale, José-Manuel Cano-Lopez parle du Plessis comme d’un « lieu de vie où la culture fait partie intégrante de l’humanité qui s’y dégage ». […]
Mathieu Giua