En janvier dernier, plusieurs écoles orléanaises avaient fait l’objet d’un collage d’affichettes dénonçant les rapts d’enfants dans une France devenue “le paradis des pédophiles“. Ces affichettes émanant d’un site considéré comme complotiste avaient interpelé de nombreux parents et la ville avait fait le nécessaire pour faire disparaitre rapidement cette provocation aux abords des écoles. (voir La Rep).
Mais pas partout, on trouve encore deci-delà ces affichettes rouges et noires, et particulièrement à l’intérieur de certains panneaux horaires de la TAO: l’affichette prend ainsi valeur de communication officielle avec la complicité probable d’un agent qui peut donc ouvrir les sous verres de la TAO.
Alertée à plusieurs reprises, la TAO n’a jusqu’alors, pas jugé utile d’intervenir…