Rendons à César ce qui lui appartient ! Notre chroniqueur orléanais des chaînes d’information en continu n’a pas attendu notre président pour l’usage d’un vocabulaire grossier à l’égard de ses détracteurs. Dans un hommage à son ami l’écrivain journaliste Denis Tilliniac décédé en 2020, il écrit à propos de la censure dont le maire d’Orléans s’estimait victime suite au refus de France3 de diffuser un documentaire de sa fabrication:
“Je te cite dans ta dernière tribune : « Il ne faut pas craindre d’assumer notre passé face à tous les censeurs agissant au nom de l’idée qu’ils se font du Bien et qu’ils veulent nous imposer ».
Alors, je te rassure, cher Denis, j’emmerde la bien-pensance et tous les censeurs.”
Incontestable précurseur du gros mot, une nouvelle fois Serge Grouard nous montre là son talent épistolaire pas toujours reconnu !