Orléans: façade du MOBE, la biodiversité à sec !

Commentaires

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1. Très bon article, bravo

2. Vous n’avez rien compris à la nouvelle philosophie grouardique : la culture sous toutes ses formes (végétale ou création artistique) doit être un exemple d’ascétisme propre à insuffler dans l’esprit des orléanaisaises qu’il faut savoir se priver pour préserver l’essentiel : les jeux du cirque sous leurs diverses formes: matches, concours, élections.

3. J’ai toujours été sceptique de ces vues d’artistes et l’on sait que l’architecture de verre, largement diffusée hélas, n’a en général qu’une seule conséquence : l’utilisation massive de la climatisation.

4. Rappelons également que l’ancienne serre du dernier étage avait été la volonté du directeur du muséum d’alors, qui n’était autre que… Théodore Monod. Ou comment détruire un héritage.

   • Comme ancien directeur, j’hésiterai plutôt entre Théodore Jammot ou peut être Dominique Monod …

5. Vite, un artiste qui va nous repeindre tout ça en trompe l’oeil !
   S’agit-il d’un héritage de O.Carré maire ?

6. Il n’y a qu’au moment des élections que Mr Grouard a l’âme écoresponsable. Nous attendons aussi toujours de nouvelles bandes cyclables entre autres ! Le Muséum est trop loin du centre ville !

   • J’habite à proximité, avec mes voisins nous nous considérons étant en centre ville, pas l’hyper centre mais bien le centre ville !
     Cinq minutes à pieds de la place du Martroi qu’est ce c’est ?

7. On peut aussi se demander si le personnel du MOBE a bien les moyens et le temps de s’occuper de ces plantations, placées dans cet espace peu propice. Il serait malheureux qu’ils se prennent une soufflante de la mairie après cet article, alors qu’ils subissent tout cela…
   J’ose espérer que ce n’est pas un dossier confié à notre ami
   J-P Imbault, fort de sa conception décorative de la nature.

8. Bien triste, fermeture pdt des années du muséum alors que j’aurais pu y emmener ma fille alors en crèche, donc n’a pas connu les animaux et ses soigneurs ni la serre. Destruction de la serre du jardin des Plantes, adieu le dépaysement immobile, vit “la reconquête” à l’image du tas de boue de la Jeanne sous place d’arc (article mag Centre).

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