Pour sa première édition en septembre 2018, le Parlement des écrivaines francophones a réuni soixante-dix auteures venues de 27 pays et issues des continents américain, africain et européen.
Le Parlement des Ecrivaines Francophones septembre 2018
L’ouvrage est préfacé par Youma Fall, directrice du département « Langue française, culture et diversités » de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) et coordonné par Fawzia Zouari, romancière et journaliste tunisienne.
Le livre
Elles viennent des quatre coins du monde mais elles ont une seule passion, l’écriture. Elles sont issues de diverses cultures mais elles ont choisi de s’exprimer publiquement dans une seule langue, le français. Elles se définissent libres de toute obédience et elles ont accepté de faire partie du Parlement des écrivaines francophones, une plate-forme inédite destinée à faire entendre la voix des femmes auteures, en particulier, des femmes, en général.
Cette anthologie présente quarante deux écrivaines du Parlement des Ecrivaines Francophones à travers une bio-bibliographie et un extrait de texte publié.
L’ouvrage est préfacé par Youma FALL, directrice du département « Langue française, culture et diversités » de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) et coordonné par l’écrivaine Fawzia ZOUARI.
À propos du Parlement des écrivaines francophones
Créé à l’initiative de la romancière et journaliste tunisienne Fawzia ZOUARI, organisé par la mairie d’Orléans et soutenu par l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), le Parlement des écrivaines francophones a réuni pour sa première édition en septembre 2018, soixante-dix auteures venues de 27 pays et issues des continents américain, africain et européen.
Liberté, Égalité, Féminité est la devise de cette plate-forme qui offre aux écrivaines un espace annuel de rencontre, de prise de parole et de débat sur l’écriture, la langue française et les sujets de société. Sa vocation est d’affirmer le rôle des femmes dans la littérature francophone et d’accroître la visibilité du regard qu’elles portent sur le monde.
Extrait du Manifeste du Parlement des Ecrivaines Francophones:
«… Nous rêvons ? Et bien tant mieux ! Parce que le jour où les femmes ne rêveront plus, ce sera le plus grand cauchemar pour les Hommes. Rêvons ! Et faisons en sorte que nos rêves s’achèvent dans une raison du monde. Par notre voix, s’édifie la seule civilisation qui vaille à nos yeux : la civilisation universelle ».