Publi-reportage
Depuis sa première certification ISO 14.001 en 2010, le leader européen des télécommunications multiplie les initiatives en faveur de la préservation de l’environnement dans chacune de ses Directions locales. Économie d’énergie, anti gaspi, chasse au papier, recyclage, écoconception … Dans le Centre-Val de Loire aussi, l’opérateur affiche son modèle éco responsable pour rapprocher ses salariés et ses clients d’un « essentiel » environnemental.
Comment anticiper et pallier la surconsommation ? Une problématique que le Groupe Orange prend à bras-le-corps depuis près de 10 ans en multipliant des initiatives en faveur de la préservation de l’environnement tant au niveau national que dans ses différentes Directions locales. En Centre-Val de Loire, la dynamique est plus que jamais enclenchée auprès des clients d’Orange et des salariés dont la sensibilisation à l’impact environnemental est devenue un cheval de bataille du Groupe.
Une économie circulaire pour les box
Ainsi, pour éviter la surconsommation, Orange a fait le choix de louer sa Livebox et ses décodeurs. « Plus de 80% sont testées avant leur mise sur le marché, permettant d’éviter un taux d’échange de 45%, soit le retour d’une box sur deux, explique Virginie Barré, Responsable pilotage Système Management Environnemental, région Grand Ouest. Et pour chaque retour, les Livebox sont reconditionnées à neuf et remises en circulation pour allonger leur durée de vie ». Mais ce n’est pas tout. Pour chaque nouvelle box, Orange intègre dans ses process l’économie circulaire intégrant ses produits dans un cycle de vie vertueux,
prenant compte de la réduction de la consommation dès la source et donnant une nouvelle vie aux ressources par le réemploi. Ainsi depuis 2016, « les emballages de la Livebox 4 sont éco-conçus avec 50% de matières recyclées et labellisées FSC », poursuit Virginie Barré. Une démarche qui vaut aussi pour les décodeurs TV, désormais plus petits, intégrant une coque 100% en plastique recyclé – « ce qui a permis une réduction de 42% de l’impact environnemental par rapport à l’utilisation du plastique neuf » –, plus résistante avec des clips pour remplacer les vis, des emballages qui utilisent des encres végétales et des cartons recyclés en fibre cellulose.
D3E, papier, kakemonos… responsable sur tous les fronts
Et du carton au papier il n’y a qu’un pas. En utiliser le moins possible ou recyclé fait partie également des priorité d’Orange. D’abord par la dématérialisation des factures clients : « 90% des clients mobiles ne reçoivent plus de factures papier ». Une option à cocher sur votre compte si ce n’est déjà fait ! Et, en interne, une réduction drastique de la consommation de papier a été engagée avec une baisse de 25% en 2018 par rapport à 2017 grâce à la sensibilisation des salariés et à la programmation des imprimantes recto-verso ou l’impression verrouillée, et à l’utilisation à 90% de papier recyclé.
Une démarche qui s’accompagne d’une collecte dans les bureaux de stylos et de crayons à papier : 25 kg sur la région Centre-Val de Loire – Normandie qui seront recyclés pour faire du mobilier extérieur. Sans oublier depuis 2 ans, le recyclage systématique en Centre Val de Loire et Normandie, des kakemonos – dont les slogans et les chartes de communication changent – transformés dans des ateliers d’ESAT (Établissement et Service d’aide par le travail) en sacs, trousses, pochettes… pour être revendus.
Si Orange aime rappeler à ses clients sa conscience écologique, l’opérateur « vert » ne cesse de diversifier ses actions dans ses Directions locales pour sensibiliser ses salariés sur son engagement dans la transition écologique.
Comme sur Orléans. L’une des dernières opérations a permis de récupérer 120 kg de D3E (Déchets d’Équipement Électriques et Électroniques) grâce à la « Green Day ». « Une opération expérimentale lancée en janvier et février 2019 qui vise à récupérer le matériel abandonné et obsolète sur les bureaux : souris, cordon, claviers, écrans cathodiques, câbles, téléphones fixes, …, explique Rudy Pivert, Manager Infogérance et Matériel pour la zone Centre Val de Loire-Normandie. 40 kg une première fois, en une seule journée, dans les bureaux d’orange à Orléans, et 80 kg une seconde fois ». Ajoutés aux 105 kg en Normandie, ce qui fait un total de 225 kg.
« Soit une économie de 140 kg de CO2 sur une seule opération et des produits de récupération qui seront traités dans un service de tr,i puis retraités dans une usine. L’idée de cette opération est d’acculturer les salariés au process pour éviter ces phases de retour de matériel et être en conformité dans le cadre de la Norme ISO 14 001 ».
Le défi du bâtiment de la consommation énergétique
Côté bâtiment et activité du réseau, Orange cible aussi sa réduction de consommation d’énergie, celle qui fait fonctionner les réseaux et qui est due à l’explosion du numérique : « C’est 80% de la consommation d’énergie », souligne Virginie Barré. Ainsi l’opérateur a investi dans deux Data Centers éco responsables en Normandie et à Chartres, a remplacé de gros équipements d’accès aux réseaux mobile par des équipements plus performants (au niveau des batteries notamment), et en 2019, « Orange a mis hors tension des équipements non utilisés et qui consommaient de l’énergie malgré tout ». Une démarche qui va se poursuivre avec « 4 500 équipements qui vont être débranchés sur le Grand Ouest comme des mini serveurs… ».
Plus encore, suite à l’audit du « Plan d’Action Énergie », dans les bureaux du centre d’Orléans, 18 actions (changement de joints, de lumières, systèmes de pilotage et de veille pour alerter sur la consommation anormale d’eau et d’énergie…) ont été mises en place permettant de réaliser une économie de 115,8 MWh, soit une réduction de 21 tonnes de CO2. Différentes étapes que viendra compléter le futur projet immobilier d’Orange, Inter-rives, au nord d’Orléans, 2e bâtiment Haute qualité environnementale du groupe sur la région Centre Val de Loire après celui de Tours construit en 2016.
E.B.