« Cochon qui s’en dédit », après des années de tergiversations, de rendez-vous parfois manqués ou avortés, La Cité de la Gastronomie est enfin sur de bons rails, prête à décoller. C’est en tout cas le sens de la conférence de presse qui s’est tenue jeudi dernier au sein de la Villa Rabelais.
Pour rappel, en 2013, Tours obtenait avec Rungis, Lyon et Dijon, le label de « Cité Internationale de la Gastronomie. » La partie tourangelle du label était alors fléché vers « le repas français, un art de vivre. » Logique, au regard du fait que l’IEHCA (l’Institut Européen d’Histoire et des Cultures de l’Alimentation), basé à Tours, était à l’origine de l’inscription du repas gastronomique à la française, au patrimoine culturel immatériel de l’Humanité de l’Unesco.
Mathieu Giua