Orléans Métropole: soigner sa publicité médicale...

Soigner sa publicité c’est l’efficacité et ce qui suit doit servir aux personnes qui vont le lire :

Acte 1 : le 9 septembre 2018 vers 19 h, j’ai une douleur atroce et intense sur les épaules et dans la poitrine, j’appelle le 15, prenez un efferalgan. Le pire, 1/2 h après la douleur s’estompe.
Acte 2 : le 10 septembre vers 11 h, mêmes douleurs, même crise qui dure 1 h, j’appelle le 15, prenez un efferalgan et rappelez moi. Le pire, la douleur s’estompe et je téléphone au 15 pour les prévenir !
Acte 3 : le 12 septembre vers 10 h jusqu’à 17 h, j’ai cru mourir, mêmes symptômes. Je n’ai pas appelé le 15, pour m’entendre dire prenez de l’efferalgan !!!
Acte 4 : du 12 septembre au 15 novembre, ma santé se dégrade progressivement, je marche 20 mètres, je m’arrête 5 minutes pour reprendre mon souffle, je suis épuisé !
Acte 5 : un cardiologue me fait conduire en urgence à Oréliance-La Reine Blanche, je suis pris en charge immédiatement IRM et coronarographie.
Acte 6 : le cardiologue m’apprend la nouvelle et m’explique que “je suis une personne présentant un risque élevé de mort subite”. Pour palier ce risque, je suis équipé d’un défibrillateur portable en espérant qu’il ne se déclenchera pas (je touche du bois) !
Acte 7 : j’ai la vie sauve mais mon coeur est nécrosé, ce qui est nécrosé est foutu pour toujours. Demain 11 décembre, 1ère séance de réadaptation cardiaque pour récupérer un peu plus de vie et essayer de l’allonger au mieux !

Est ce que je verrais mes petits enfants grandir (2 à 12 ans), je n’en sais absolument rien !

C’est mon histoire, je la vis actuellement, en fait le 12 septembre 2018 j’ai fait un infarctus, le 9 et le 10 c’était les prémices de cet infarctus que le 15 (SAMU) n’a pas su détecter, mon mal je l’avais parfaitement décrit. J’ai vécu deux mois avec cet infarctus ?
Je reproche au 15 de ne pas avoir pris les précautions nécessaires, dans le doute on ne s’abstient pas lorsque la santé d’une personne est en jeu !

Allez vous diffuser ce commentaire, si oui bravo, il faut que cela serve ; si non c’est dommage et cela reviendrait à soutenir une institution qui a de sacrés lacunes.

De toute ma vie, pas de tabac, pas d’alcool par contre beaucoup de stress et j’ignorais que j’avais du cholestérol !

Alain Martin – 10 décembre 2018 –

Commentaires

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Monte Chiusi écrit:

Le 10/12/2018 à 11:24

Merci à Mag centre pour le droit de suite à exercer auprès de la métropole d’Orléans quant aux résultats CONCRETS de cette communication pour faire venir de nouveaux médecins.
Cela fait 2 mois que je cherche un généraliste à Orléans ( le mien part à la retraite le 31.12.2018) et aucun résultat positif ( on m’a conseillé d’aller à Paris) ni d’ailleurs aucun retour de l’ARS ni de la CPAM à mes courriers.
riglet écrit:

Le 10/12/2018 à 14:37

A Checy il est arrivé 3 médecins en 1 an les nouveaux ont sans doute encore de la place pour vous dépanner
Alain Martin écrit:

Le 10/12/2018 à 23:55

Soigner sa publicité c’est l’efficacité et ce qui suit doit servir aux personnes qui vont le lire :

Acte 1 : le 9 septembre 2018 vers 19 h, j’ai une douleur atroce et intense sur les épaules et dans la poitrine, j’appelle le 15, prenez un efferalgan. Le pire, 1/2 h après la douleur s’estompe.
Acte 2 : le 10 septembre vers 11 h, mêmes douleurs, même crise qui dure 1 h, j’appelle le 15, prenez un efferalgan et rappelez moi. Le pire, la douleur s’estompe et je téléphone au 15 pour les prévenir !
Acte 3 : le 12 septembre vers 10 h jusqu’à 17 h, j’ai cru mourir, mêmes symptômes. Je n’ai pas appelé le 15, pour m’entendre dire prenez de l’efferalgan !!!
Acte 4 : du 12 septembre au 15 novembre, ma santé se dégrade progressivement, je marche 20 mètres, je m’arrête 5 minutes pour reprendre mon souffle, je suis épuisé !
Acte 5 : un cardiologue me fait conduire en urgence à Oréliance-La Reine Blanche, je suis pris en charge immédiatement IRM et coronarographie.
Acte 6 : le cardiologue m’apprend la nouvelle et m’explique que “je suis une personne présentant un risque élevé de mort subite”. Pour palier ce risque, je suis équipé d’un défibrillateur portable en espérant qu’il ne se déclenchera pas (je touche du bois) !
Acte 7 : j’ai la vie sauve mais mon coeur est nécrosé, ce qui est nécrosé est foutu pour toujours. Demain 11 décembre, 1ère séance de réadaptation cardiaque pour récupérer un peu plus de vie et essayer de l’allonger au mieux !

Est ce que je verrais mes petits enfants grandir (2 à 12 ans), je n’en sais absolument rien !

C’est mon histoire, je la vis actuellement, en fait le 12 septembre 2018 j’ai fait un infarctus, le 9 et le 10 c’était les prémices de cet infarctus que le 15 (SAMU) n’a pas su détecter, mon mal je l’avais parfaitement décrit. J’ai vécu deux mois avec cet infarctus ?
Je reproche au 15 de ne pas avoir pris les précautions nécessaires, dans le doute on ne s’abstient pas lorsque la santé d’une personne est en jeu !

Allez vous diffuser ce commentaire, si oui bravo, il faut que cela serve ; si non c’est dommage et cela reviendrait à soutenir une institution qui a de sacrés lacunes.

De toute ma vie, pas de tabac, pas d’alcool par contre beaucoup de stress et j’ignorais que j’avais du cholestérol !

Alain Martin – 10 décembre 2018 –

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